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25 janvier 2010

Mass hysteria, l'usine à Istres; Live report par R@el

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Premiers pas dans une nouvelle salle, premier constat: Ca à de la gueule. Pendant que la majorité des furieux sont à la buvette, mes camarades et moi-même nous dirigeons vers la scène, du coup, nous nous plaçons tout devant. La première partie arrive: Headcharger, un groupe de Caen. Sympa, mais la salle s'économise pour la suite, vu la folie que ce sera, c'est un peu normal. Bref les Headcharger chauffent la salle tranquillou, et laissent une fosse bouillante à Mass hysteria, qui annonce immédiatement la couleur: Babylone et world on fire pour commencer, on frôle la fission nucléaire en deux morceaux.

La salle entière s'agite à en faire péter les murs, mais l'ambiance est ultra positive, tout le monde est heureux d'être là, et les gars de la mass aussi, c'est communicatif, mais le meilleur reste à venir. Après une quelques titres plus posés (genre failles et des morceaux du premier album, tous plutôt bon, mais ma mémoire me joue des tours), la folie reprend de plus belle, puisque le groupe nous lâche P4 dans la face!!! Avec un des morceaux les plus abusés du groupe, la fosse se transforme en champ de bataille... Nous ne sommes plus à Istres, mais dans le mordor...

Après quelques morceaux bien péchus, (Zion, une somme de détails...) le groupe quitte la scène, et revient pour un rappel d'anthologie: Contraddiction, echec, Killin' the hype, respect to the dancefloor, Furia. Du coup, nous avons été obligé de payer de notre personne, à tel point qu'on a vu les gars sur scène commencer à halluciner devant l'énergie déployée. Quand Mouss nous tend le micro pour Killin' the hype, (à un de mes potes et moi), il se reçoit les paroles en pleine face et pour un instant, il ne nous quitte plus. Quand la tension monte sur Echec, je n'y tiens plus et je monte sur scène avec un autre de mes amis, afin de me jeter dans sur la foule en délire!!! Sur contaddiction, le Pogo se transforme en tsunami. Pour Respect to the dancefloor, Mouss demande, comme d'habitude à des gens de monter sur scène, il se retrouve avec au moins 25 furieux qui s'agitent, la sécurité est débordée, mais le délire est plus fort que tout! Enfin Furia termine de nous achever.

Un grand moment d'abandon, de délire et de bon esprit, aucun débordement, que du bonheur. Même si vous n'aimez pas ce genre de musique, il faut vivre une fois ce genre de truc pour se lâcher totalement, et vivre la musique. Techniquement les gars sont super carrés, ils envoient un son monstrueux, déploient une énergie fabuleuse, et se payent le luxe d'être accessibles, en contact avec le public, ultra réactifs, sympa et fun.

Hey les gars!!! Rendez vous à Gardanne!

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Commentaires
R
Bah en fait pas tant que ça en fait, les gars du groupe ont clairement avoué l'hallucination qu'ils éprouvaient devant le délire de la salle. Après les conditions étaient réunis pour que je passe un concert de folie, c'est clair. Mais c'etait franchement un cran au dessus de ce que j'avais vu à toulon la dernière fois, et c'etait deja bien la folie.
A
Pas étonnant une telle ambiance sur Mass. Après c'est clair que ce live report parait surdimensionné mais bon, c'est la passion du groupe qui parle...
R
vas-y fait péter!!!
S
Ouah la vache!!! Que du bonheur ce concert!!! Et ce slam, quel slam mes aïeux...J'en tremble encore,et quand à la proximité du groupe que dire sinon que Mouss nous en à tapé 5 au moins 10 fois pendant le concert et que le bassiste et le lead guitariste ont halluciné sur notre prestation sur Killing the hype!!<br /> Sinon raél, pour la setlist, tu pourra me demander, je l'ai à la maison... ;-)
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